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La véritable histoire de l’Equipe de France [2002/2010]

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La véritable histoire de l’Equipe de France [2002/2010] Empty La véritable histoire de l’Equipe de France [2002/2010]

Message  Roberto > Sam 10 Juil - 14:19

Or, donc, voilà, comme prévu, tout part à vau-l’eau ! Et encore ! On n’a pas tout vu ! Ni tout entendu. Alors je sais, ça fait causer, vendre du papier, et peu nous chaut qu’on en profite, doucement, ni vu, ni connu, pour annoncer – comme je l’avais prévu – un gel des salaires des fonctionnaires, les bleus, du moins leur délitement pathétique mais tellement prévisible, occupe tout l’espace. Pourtant, tout n’a pas été dit.

La vérité, notamment.


Peut-être que tout commence le 18 mai 2002. Ce jour-là, l’équipe de France, celle de Roger Lemerre, livre un match de préparation à la Coupe du Monde qui s’ouvre, dans moins de 15 jours, en Corée du Sud et au Japon.

Zidane et sa bande, devant un Stade de France plein comme un œuf (78 475 spectateurs) se font piteusement battre par une très modeste équipe de Belgique (1-2).

Pourtant, la foule acclame “ses” bleus. On fait même "péter" un énorme feu d’artifice. Totale démesure. Scène absolument surréaliste.
Il faut préciser que cette équipe a tout raflé : la Coupe du Monde 1998 (en France) la Championnat d’Europe 2000 (en Belgique et aux Pays-Bas – où, très certainement, la France était à son apogée) une Coupe des Confédérations (2001). Ces hommes sont des Dieux. Intouchables. Arrogants. Déjà, arrogants. Pétris de suffisance.

Oh, je me souviens, que nous étions cependant quelques-uns à redouter le pire. Nous savions que sans leurs tauliers, ceux qui, jusqu’à présent, tenaient la baraque et les têtes, soit Didier Deschamps et Laurent Blanc quelque chose avait changé. Mais nous étions priés de la fermer. Jurisprudence Aimé Jacquet. Cet homme tant décrié (par la presse sportive) avant le triomphe du 12 juillet 1998 … Vos gueules, les rabats-joie ! Voilà, ce qu’on nous disait. Le premier qui dit la vérité sera exécuté (par Pierre Arditi et autres bobos supporteurs des bleus).

Et qu’advint-il ?

Un cauchemar.

Pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du Monde, une nation tenante du titre se faisait sortir dès le premier tour. Pire : elle n’inscrivit pas le moindre but. Une véritable humiliation.

Mais croyez-vous qu’ils vinrent s’expliquer ? Je veux dire, ceusses qui donnent la leçon, aujourd’hui, Leboeuf, Dugarry, Lizarazu et consorts ; sont-ils venus faire amende honorable ? Ont-ils reconnu qu’ils avaient pêché par suffisance ?

Non.

Et l’on a passé l’éponge. On a laissé faire. Allons, c’est qu’un malheureux accident, un sombre malentendu, vous allez voir, elle va se refaire cette équipe de France, ce sont de grands garçons, des champions ! … Ben tiens ! …. La vérité, c’est qu’on a tout fait pour éviter les remises en question. Politique de l’autruche assez remarquable.

Or, c’est bien en 2002, en Corée du Sud, que ça commence à partir, sérieux, en sucette..

Même si, certes, c’est vrai, elle fit illusion (en 2003, notamment), cette pseudo nouvelle équipe de France. Sous la houlette – comme on dit - du pâle et très rébarbatif Jacques Santini , elle enchaîne les victoires, remporte une seconde Coupe des Confédérations (2003) elle va même, le 15 novembre 2003, étriller l’Allemagne (3 à 0) à Gelsenkirchen.

Or, donc, ils seraient de retour, nos héros de 98 et 2000.

Non, ils ne sont pas de retour. Juste, ils ont commencé à prendre (un peu) le pouvoir. Déjà, ils n’écoutent plus vraiment le coach. Zidane est leur leader "naturel". Oui, ce garçon aimable, discret, devant les caméras. Cet homme adulé par tout un peuple. Le peuple qui, comme souvent, ne voit que la surface des choses .. Sauf que, Zidane, il joue bien au foot, lui. Très bien, même. Alors, pas touche ! D’autant plus que c’est lui qui sauve les bleus lors du premier match de l’Euro 2004 contre l’Angleterre (2 à 1). Zidane, avec un Z comme Zorro. Puis comme Zéro, face à la Grèce (0 à 1).

Deuxième échec, après la Coupe du Monde 2002. Moins humiliant, mais, franchement, pas très brillant.

Et à la sortie, coup de théâtre ! Alors qu’ils continuent à jouer dans leurs clubs respectifs, Zidane, Thuram et Makelele annoncent leur retraite internationale.
Me souviens que Jacquet trouvait ça anormal. Guy Roux, itou.

Et c’est là, qu’il entre en scène : Raymond Domenech. Lui qui n’a jamais dirigé un grand club, ni obtenu aucun titre majeur.

Quel choix curieux ..

Il doit reconstruire. Qualifier les bleus pour la Coupe du Monde 2006 qui se déroule en Allemagne en s’appuyant sur quelques cadres comme Barthez, Vieira et Henry. Au passage, il règle quelques petits comptes personnels (Pires, Trezeguet, Giuly ..). Il “coache” comme il jouait sur le terrain. Brutal. Sans finesse, sans élégance. Bref, il déconstruit. Petit à petit.

Têtu, par-dessus le marché, il n’écoute rien, ni personne.

Le résultat, c’est une équipe qui joue mal. A ce point, qu’elle ne va pas se qualifier pour la Coupe du Monde 2006 [3].

Panique en haut de la pyramide, la fameuse et pathétique Fédération Française de Football. Celle qu’est restée scotchée en 1998. Qui n’est plus dans le réel. Celle qui, aujourd’hui, première fautive, devrait démissionner en bloc. Mais ce n’est ni l’honneur, ni la dignité qui les étouffent, ces gens-là. On peut jacter sur certains politiques, ah ça oui, mais les pontes de la FFF, n’ont rien à leur envier. Négativement, s’entend. Une bande de jean-foutre, voilà ce qu’ils sont ..

Alors quoi ?

Eh bien alors, “on” rappelle les retraités : Zidane, Thuram et Makelele, en septembre 2005 (ils reviennent, d’abord, pour le match amical France-Côte D’Ivoire). Et ric-rac, elle gagne son billet pour la Coupe du Monde 2006. Ribéry, surprise du chef Domenech sera du voyage. Il ne va pas perdre une miette de ce qu’il va se passer, le boulonnais, croyez-moi ..

.. Bref ..

Le premier tour de cette Coupe du Monde 2006 est consternant. Pas de jeu. Pas d’envie. Rien. Pourtant, ils le passent. Et c’est là que les anciens de 98, à commencer par Zidane, vont prendre définitivement le pouvoir. Zidane, mais aussi Sagnol, Makelele, Vieira et Thuram vont voir le coach. Ils ne veulent plus jouer selon son "système" (déjà …). Désormais, les bleus joueront à leur façon, comme ils l’entendent.

Domenech est dépossédé.

En même temps, qui s’en plaindrait, tellement c’est un mauvais tacticien ? Qui oserait leur reprocher ce putsch, au regard de leur palmarès, et celui, désespérément vide de leur sélectionneur ?

Et la FFF, là-dedans ?
Elle moufte pas.

La suite, on la connaît. Deux matches de légende, comme ils ne nous en avaient plus offert depuis le 3 à 0 à Gelsenkirchen.

Deux matches somptueux contre l’Espagne (3 à 1) puis le Brésil (1 à 0). Mais une fin étrange. Une défaite en finale (aux tirs aux buts) face à l’Italie assortie d’un énorme "coup de boule" signé ... Zidane. Normal ! Plus personne ne tient cette équipe. Plus de coach. Elle s’auto-gère. Fallait donc se douter que ça se finirait ainsi. Dans la violence ..

Mais encore une fois, Zidane est un Dieu, que voulez-vous ! Son geste a beau être terrible, il ne s’en excuse pas, ou à peine ; mais peu importe, l’opinion lui pardonne (ce serait même Materazzi, finalement, le “salaud” dans cette histoire) ... Ce garçon nous aura tant donné, n’est-ce pas ? Ce garçon discret, timide. Ce garçon au double-visage. Surtout.

Il a pris sous son aile, Ribéry, pendant cette Coupe du Monde. Qui a tout vu. Le putsch. Son coach humilié. Il saura s’en souvenir..
Le problème, c’est que plus le temps passe, et moins l’on trouve de vainqueurs des années passées dans cette équipe. Il ne reste plus que Thierry Henry. Les autres se prennent pour des stars, alors qu’ils n’ont jamais rien gagné en équipe de France. Les mentalités ont changé. Le discours aussi. Oh, c’est pas que Didier Deschamps était une lumière, loin s’en faut, mais il avait le sens des valeurs. Et Laurent Blanc, pareil. Là, c’est pas le cas. Du tout ..

Raymond Domenech va s’attribuer la belle performance des bleus lors de la Coupe du Monde 2006. Personne ne le contredira. Pourquoi ? Parce que c’est dans l’intérêt de personne. Tout simplement. Sûrement pas de la FFF qui roupille sur son 1998. Et surtout pas des joueurs. Ils ont compris que c’est eux qui feront la loi. Alors pourquoi tout changer ?

D’autant plus que le 5 septembre 2006, les bleus prennent leur revanche sur l’Italie (3 à 1). C’est leur dernier vrai match à ce jour.

Oui, cela fait quatre ans, maintenant, que les bleus ne jouent plus au football (et ils ne comprendraient pas le désamour de la presse et d’une partie du public ? C’est fort, quand même ..)

Quatre ans, que ce n’est plus une équipe.

Et le pire, c’est que ça commence à se voir. Plus particulièrement, lors de l’Euro 2008, où ils se font tailler en pièces. Une vraie boucherie. Ventilés par les Pays-Bas (4 à 1) désossés par .. l’Italie (2 à 0). Logique.

Normalement, après une telle déroute, La FFF doit procéder à un changement de sélectionneur, ou alors, s’il se souvient de ce que signifie le mot dignité, Raymond Domenech doit devancer l’appel en remettant sa démission.
Mais non.

Non seulement, il sera maintenu (soutenu par ceusses qui le lâchent aujourd’hui, comme Gérard Houiller..) mais adoubé par une grande partie des bleus, Ribéry, le premier. Et l’on sait (ou devine) désormais pourquoi.

Sauf que, petit changement, montée d’orgueil, Domenech s’estime légitime. Désormais, il a(urait) une ligne à son palmarès : une finale de Coupe du Monde. Fichtre ! Il s’appuie dessus. Pour tenter d’asseoir son autorité. Et refourguer son système de jeu qui ne marche pas. Et rebelote..

.. Les matches de qualification pour la Coupe du Monde 2010, sont de véritables tortures. Voilà qu’on se fait taper par de pauvres autrichiens (3 à 1). Y’a comme le feu ..

En septembre 2009, c’est la rébellion. Le clash. Et comme c’est étrange, personne ne semble s’en souvenir aujourd’hui … Pourtant, c’est la même histoire, ou presque. Dans l’intimité du groupe (puisque tel est le mot-clé ridicule, ridicule car de groupe, il n’y a pas) Thierry Henry, devant tous ses coéquipiers (solidaires) dit au coach que son système de jeu, ils n’en veulent plus. Qu’ils s’ennuient lors des entrainements. Bref, ils veulent, comme en 2006, reprendre les rênes.

Cet échange incroyable entre Henry (qui paye aujourd’hui sa fronde, en restant sur le banc - toujours cette rancune stupide qui anime Domenech) dernier survivant de 1998, et Domenech, présumé coach, sort dans la presse. S’il sort, c’est que quelqu’un du “groupe” a balancé. Mais croyez-vous que l’on parla, alors, de débusquer le "traître" ? Du tout ! On alla de démentis foireux en explications merdeuses, avec la bénédiction de la FFF, toujours prompte à noyer le poisson, fut-il énorme. Ah, les scélérats ! ..

Quoi qu’il en soit, cette rupture qui couvait depuis des années venait d’avoir lieu. Ah, qu’il était encore temps de remettre de l’ordre dans la maison, virer ce sélectionneur grotesque, le remplacer par un homme à poigne qui se serait chargé de calmer les égos et la suffisance de ces crétins millionnaires. C’était la dernière chance.

Ils ne l’ont pas saisie.

Mais, comme rien ne les arrête, ces goujats, ils ont trouvé leur Dark Vador en la personne de Nicolas Anelka ! La belle affaire ! …. Quoi ? Il a insulté le “coach” de l’équipe de France et ça ne se fait pas ? Mais quel coach ? Et quelle équipe de France ? Et Ribéry qui s’invite dans Télé-Foot, interrompant un entretien avec ledit coach, c’est pas une insulte, ça ? Et toute une équipe qui refuse de s’entraîner, c’est pas une insulte, non plus ? Sans oublier Zidane, ce garçon admirable, n’est-ce pas, qui via Ribéry, tente de refaire le même putsch qu’en 2006 !

La vérité, c’est que cette équipe est morte en Corée du Sud en juin 2002. Depuis, nous avons droit à des imposteurs ou de véritables crétins, des incapables (la FFF étant la première de ces incapables) des moins que rien, des zéros. Avec un Zidane qui ourdit, un Anelka qui paye l’addition (c’est pratique, les boucs-émissaires, n’est-ce pas – sauf que, le système de jeu de Domenech est tellement débile – y’a pas d’autres mots – que même Messi n’en planterait pas un seul, c’est dire !).
Ce qui nous est donné à voir, actuellement, n’est que la suite logique d’erreurs graves, impardonnables, où tout le monde, je dis bien : tout le monde est coupable : La Fédération Française de Football, Raymond Domenech, les joueurs, et même, certains anciens de la maison bleue.

Et encore, on n’a pas tout vu, ni tout entendu.

La vérité, aussi, c’est que la France est une nation de presque football. Oh certes, nous avons eu de belles équipes. En 1958.1982. 1984. En 1986. En 2000. Quelques grands joueurs, également. Mais le reste, c’est de l’ordre de la fulgurance. Ou du malentendu.

Mais comment est-ce possible d’avoir porté au pinacle un Ribéry, par exemple ? Comment a-t-on pu en arriver là ? Croyez-vous que ce type fasse la loi au Bayern de Munich ? Certainement pas ! Croyez-vous que Gallas fasse un doigt à la presse britannique ? Non plus. Pas plus que Zidane, tout Zidane qu’il est, ne la ramenait à la Juventus de Turin ou au Real de Madrid. Dans tout autre pays du football, cela fait belle lurette qu’on aurait passé un joli coup de balai. Ce n’est pas un hasard si l’Allemagne, l’Italie, l’Argentine ou le Brésil ont remporté à elles quatre 13 des 18 coupes du Monde, tout en connaissant des échecs parfois retentissants. Ça n’a rien à voir avec la nation, ou l’idée de nation, comme on voudrait nous le faire croire en France, où l’on mélange tout, à ce point que Sarkozy s’en mêle, commente (ça aussi, c’est pathétique – mais cette équipe, n’est-elle pas à son image : vulgaire ?) non, ça a voir avec le football et rien que le football !

La vérité, c’est qu’en France, nous avons été champions du monde, et voilà que pour l’éternité, on se prend pour des Dieux. C’est pitoyable.

Et que les anciens de 98 ne viennent pas faire la leçon, ni la morale. Car, encore une fois, en 2002, c’est bien leur suffisance que nous avons vue sur le terrain.
2002, le début de la fin.

Pour ne pas l’avoir vue, cette fin, ou plus exactement, ne pas avoir pris dès 2002 les mesures qui s’imposaient, la voici qui éclate, dégueulasse, et le pire, c’est que ça ne fait que commencer. Le grand déballage. La puanteur. Les règlements de compte. Les trahisons. Le lynchage sourd et aveugle (Bravo Internet, pour le lynchage, t’es champion, mon salaud ..).
Mais la vérité, elle, pour paraphraser Nicolas Anelka, elle est juste bonne à se faire “enculer” dans un vestiaire.

Il faut dire qu’ils sont nombreux de la FFF jusqu’aux joueurs, à tous les niveaux du football français, les enculeurs de mouche(s).


Pour mémoire :

Laurent Blanc et Didier Deschamps ont pris leur retraite internationale après le titre de champion d’Europe obtenu en juin 2000.

Jacques Santini qui s’est bien évidemment mêlé au concert de vierges effarouchées suite aux insultes proférées par Nicolas Anelka.
Dans le Parisien en date du dimanche 20 juin 2010, il écrabouille Anelka (mais chacun sait que les deux hommes se détestent) et déclare ceci : “Je le répète, le sélectionneur, et donc le maillot bleu, mérite le respect. Quand on l’insulte, on insulte l’équipe de France !” .. Non, monsieur. Quand on insulte le sélectionneur, on insulte juste le sélectionneur. Mais si ça vous fait plaisir dans le dedans de vous-même de tout mélanger, à votre guise .. Mais avec moi, ça ne prend pas, ce genre de discours à la noix.. Ce raccourci miteux ..

En matches de qualification, cette équipe de France n’avait pas réussi à battre la Suisse, Israël et la République d’Irlande au Stade de France. A chaque fois, elle a dû concéder le nul, et toujours le même : zéro à zéro .. Avec les retours de Zidane, Thuram et Makelele, elle ira chercher sa qualification en Irlande. But de Thierry Henry à la 68ème. Et pas de main qui traîne, cette fois ..

Vieira était le seul des cinq a être encore en activité cette année. Il pouvait prétendre à faire partie du “groupe” pour l’Afrique du Sud. Jugé hors de forme, il ne sera pas sélectionné par Raymond Domenech. Une décision logique …
En revanche, c’est la manière qui laisse à désirer. Domenech n’a pas pris le téléphone pour expliquer au "grand Pat" – comme on le surnomme – qu’il ne le retiendrait pas. Ce qui ne se fait pas. En effet, vu le palmarès de Vieira, son nombre de sélections, et compte-tenu qu’il fut, longtemps, le capitaine de l’équipe de France, Raymond Domenech aurait dû le prévenir en amont. Lui éviter de l’apprendre en regardant les nouvelles, la télévision.

La seule explication à ce manque de tact de Domenech, c’est la rancune. C’est 2006.
Domenech est un type qui passe son temps à régler ses comptes, à humilier aussi.
De fait, il ne mérite pas le respect. De fait, qu’on ne s’étonne pas qu’il se fasse insulter.



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