Étape N°5 est ouverte

Roberto > Sam 24 Jan - 18:25

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Si vous avez besoin de bons bains, de massages réconfortants, je vous invite chez moi, vous serez chouchoutés.

Car depuis ma retraite sportive ma reconversion est passée par là.

Mais ce n’est pas tout, j’ai aussi créé une ligne de vêtements, qui symboliquement à un certain rapport avec le sport que j’ai pratiqué.

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Je suis née dans un pays d’Europe. Naturalisée française je fus une femme ambitieuse, consacrant la majeure partie de mon temps dans la recherche scientifique, parfois même en mettant en prenant des risques pour ma santé.

D’ailleurs je suis trop exposée à certains éléments, et atteinte d’une leucémie je décède un 4 juillet dans les années 30.

J’ai enseigné à la Sorbonne.

Mes travaux ont été couronnés par des prix Nobel.

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J’ai été, et je suis encore une figure incontournable de deux chaînes de télévision .L’une d’elle qui m’a fait connaitre dans la France entière où je présentais le plus sérieusement possible ce que l’on a pris l’habitude de nommer « La Grand Messe » Alors que l’autre (chaîne) a repris mon personnage pour parodier la même chose .

Tout a une fin, mais si j’ai terminé ma carrière sur l’une ?, l’autre continue à utiliser mon personnage

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La beauté même d’une actrice américaine .J’ai eu de nombreuses aventures amoureuses. Mais l’une d’entre elles, a fait parler le monde entier. Il est vrai que mon amant était un personnage important des États-Unis. Une image tirée d’un de mes films est dans toutes les mémoires aujourd’hui encore. Une robe blanche, une bouche d’aération ….

J’ai connu une fin tragique.

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J’ai débuté dans la vie sur les marchés avec mes parents en vendant des confiseries.

Mais très vite un producteur de disques m’a lancé dans la chanson, et rapidement je suis devenue l’idole des jeunes, avec un merveilleux répertoire qui a fait danser la France entière.

Un mariage raté avec un chanteur de l’époque avec lequel j’ai eu un fils.

Tout au long de ma vie j’ai souffert de mauvaises rumeurs mettant en doute ma féminité .On a même émis des réserves sur mon fils, que j’aurais adopté.

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Si Dieu n’a jamais existé en réalité, moi je l’ai incarné de mon vivant. J’ai fait une longue, une très longue carrière semée d’embûches et d’échecs, avant de connaitre enfin la consécration .Á force de persévérance j’ai réussi à atteindre mon objectif « occuper un poste important » Un poste que des membres de ma famille politique ont tenté de prendre à ma suite, mais sans succès.

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Un grand parmi les grands, si ce n’est le plus grand de ces dernières décennies .J’ai occupé un poste important en France. Étant le dernier rempart celui qui sauve les situations les plus chaudes .Je n’avais peut être pas très bon caractère, ce qui m’a valu des démêlés avec un certain personnage qui n’avait (à mon avis) sans doute pas pris la bonne décision. Je reste malgré tout un « personnage » connu de la France entière. Il est vrai que j’ai fait partie d’un groupe qui a enflammé la population française il y a une dizaine d’années.

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Je le vois encore un soir à Cannes à la remise des prix. Alors qu’il reçoit la Palme d’Or pour son film, une partie du public de la salle en désaccord avec le choix du jury le siffle.

Il ne perd pas son sang froid et lève le bras en déclarant « Si vous ne m’aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus »

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Je suis la première femme française à avoir occupé un poste important au service de mon pays. D’ailleurs encore aujourd’hui, je suis toujours la seule. Il faut dire que ce poste est réservé ! Plutôt aux hommes. Je me demande d’ailleurs pourquoi. Alors que dans des pays voisins et même dans le monde, des femmes occupent où ont occupé des fonctions toutes aussi importantes voire d’un niveau plus élevé.

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Femme de lettres, mes romans se sont vendus à des centaines de milliers d’exemplaires, et pourtant je n’ai touché aucun droit d’auteur. Il est vrai que mon mari vendit les droits à un éditeur contre une somme définitive qu’il dépensa rapidement.

J’ai aussi joué au music-hall en apparaissant seins nus, ce qui eut le don de m’attirer des lettres indignées de ma propre mère. Il est vrai que ça ne date pas d’hier.

J’ai été nommée chevalier de la Légion d’honneur, et admise à l’académie Goncourt.

J’adorais les chats, animaux plein de grâce et de distinction qui m’accompagnaient dans mes écrits. Mais je possédais également des chiens.

Cette petite ménagerie m’inspira l’un de mes plus beaux textes.

Á ma mort l’État a organisé des funérailles nationales eu égard à la brillante femme de lettres que je fus.